phéromones, pas la guerre...
On ne la faisait pas à Adhémar : "Mon vieil Henri,j'ai bien senti que cette créature monstrueuse cherchait moins son chemin qu'un corps à corps dégoulinant de stupre avec deux hommes à l'irrésistible maturité . J'ai opposé un silence de plomb à sa provocation"
Les phéromones de Proserpine étaient comme des petits papillons qui attendaient vainement le filet d'un chasseur...
Deux bêtises, pour s'amuser avec la couleur. Vous remarquerez (ou pas) que les maisons sont les mêmes sur les deux dessins. Le résultat d'un copier-coller dont la virtuosité ébouriffante met à mal ma modestie.
Sinon, ça y est, j'ai enfin terminé mon histoire de Princesse Moche. Finie. Dans quelques jours, elle va prendre le chemin de la poste et allez tenter sa chance.
Wait and see...
En attendant, je vais pouvoir me consacrer à tous mes engagements qui ont pris pas mal de retard...Il me fait bien rire, tiens Obama avec son emploi du temps... pfff...