6 décembre 2007
pas de déo, pas de bécot
Une nouvelle petite suite séquentielle de figuration narrative et encore du noir et blanc (on clic et c'est plus grand). Du coup, je vais glisser une goutte de couleurs, pour changer de ces derniers jours...
François Pommier, qui venait enfin de comprendre pourquoi toute sa vie, on l'avait surnommé Marignan
(Je sais, c'est tiré par les cheveux et lamentable)
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