cui qui dit qui est...

Alban était effondré. Toute la semaine à relire Guitry et incapable d'avoir le moindre trait d'esprit pendant la réception d'hier soir. Et maintenant, alors qu'il était seul dans son salon, une répartie fulgurante et définitive lui venait enfin à l'esprit. Contribuant ainsi à le plonger un pleu plus dans sa déprime.


Je suppose que nous avons tous un jour partager avec Alban ce sentiment déprimant d'avoir la maladie du décalage horaire de la répartie qui tue. Cette saillie infiniment spirituelle qui arrive comme mars en carême dont l'humanité ne profitera jamais. Un peu comme le soleil cet été, quoi..

Comments

[jean-christophe]

Laure : et moi je dois être son âme frère :)
Marie Laure : pour le mail pas de problème :) Oui, l'été est là, je n'arrive pas à le croire, je n'ose pas encore ranger mes moufles !
Merci pour vos commentaires !

[marie laure]

"arriver comme mars en carême"... ça,ça tue dans une conversation...Le danger serait qu'on me demande des explications...(à ce moment là, je t'enverrai un mail hein?...)

Une pensée émue pour Alban.

Et il fait beau aujourd'huiiiii!(c'est pour cela qu'ils traitent les vignes à grands coups de produits volatiles et m'obligent à me calfeutrer chez moi..non mais ,je vous jure!)

[laure]

hi hi hi !! malheureusement les réparties c'est toujours comme ça pour moi, je suis l'âme seur d'Alban, arg !

[jean-christophe]

Inti : bienvenu au club
Sébi : c'est peut-être salutaire, non, d'éviter les réparties qui tuent avec son chef ?
Helga : lui même semble un peu effacé
ekwerkwe : c'estsur que les regards sont souvent plus profonds que les reflexions qui sont dans la boite crannienne
Cécile : d'un autre côté, heureusement qu'on sèche sur les réparties parce que sinon on deviendrait vite des caricatures de sous Guitry
Jean-Philippe : je ne sias pas s'il m'inspire mais lui, n' a pas l'air inspiré
naphtalène : on compatit mais on se moque un peu aussi j'espère :)
Merci beaucoup à vous tous pour tous vos commentaires :)

[naphtalene]

il a l'air chafouin, cet Alban, on le comprend, on compatit, forcément...